10 janv. 2010

Imidiwan ( Images inedites sous titrées)

Suite...

24 nov. 2009

Tissiway

Suite...

14 nov. 2009

Water Crisis in the Azawak of West Africa

Suite...

25 juil. 2009

L'insécurité au nord du Mali

Amghar Ag Mohamed

Site d,azawade : http://leberbereoumali.blogspot.com/
Notre page en Francais: http://leberbereoumali.blogspot.com/search/label/Fran%C3%A7ais


Comme vous le savez, depuis le début des crises politiques qui ont secoué l’Algérie dans les années 90,les éléments des groupes salafistes pour l’appel et le combat se trouvent au nord du Mali au su et vu de tous les deux Etats(Mali et Algérie)
Vers la fin de l’année dernière,après une résistance touarègue très active dans le nord du Mali, un accord a été signé entre les dirigeants maliens et algériens afin de s’emparer de deux tendances(touaregs et groupes salafistes)
Les clauses des accords comprennent ceci
L’Algérie doit mettre en œuvre tous les moyens nécessaires et disponibles pour arriver à un terrain d’attente entre le Mali et la résistance armée touarègue. En d’autres termes,
l’Algérie doit jouer le rôle de mediataire dans les négociations pour aboutir à une paix durable entre le Mali et les touaregs. L’Algérie a posé comme condition, une fois que la paix s’est établie au mali,ce dernier doit combattre jusqu'à déloger les bases des groupes salafistes(devenus Alquida du magreb islamique),installées dans le nord du Mali
C’est ce qui se réalise sur le terrain actuellement. Après les accords et l’établissement de la paix entre le Mali et les combattants touaregs, l’armée malienne s’est engagée dans la guerre contre Alquida du magreb islamique
Selon nos informations plusieurs affrontements ont opposé l’armée malienne aux groupes salafistes au nord du pays. La semaine dernière les éléments des groupes salafistes ont attaqué une base de l’armée malienne située entre Tawdanni et Timbouctou.Le bilan est lourd pour le coté malien. Les groupes salafistes ont tué plusieurs dizaines dans l’armée malienne et pris d’autres dizaines en otage. Plusieurs militaires maliens sont portés disparus laissant la base vide
De sources bien informées, un arsenal malien a quitté Timbouctou à la poursuite des éléments des groupes salafistes
Nous affirmons que cette guerre ne concerne en aucun cas la nation touarègue. Donc les responsables touaregs doivent s’éloigner de cette guerre dont les conséquences risquent d’être incalculables, même si le gouvernement malien tente de les impliquer

Suite...

30 mai 2009

Tombeau pour Kalakoa, le touareg inconnu


Kalakoa
(d’après une photo de Pascal Maitre)


















Les militaires – comme toujours –
les militaires ne font qu’obéir aux ordres du pouvoir qui les emploie. Que ce « pouvoir » soit légitime ou dictatorial.
Mais, quand il arrive à un pouvoir à la solde de « grandes puissances » et se partageant avec elles le produit du vol des matières premières, au détriment des citoyens d’un pays pauvre, oui, quand il arrive à un pouvoir de laisser la bride sur le cou de ses militaires en leur octroyant TOUS POUVOIRS, et ce afin de mater des soi-disant « rebelles » [comprenez : rebelles à l’enrichissement personnel d’une minorité corrompue], alors… il peut arriver également que ces mêmes militaires fassent preuve de zèle, et exécutent les ordres ET les rebelles avec une violence dix fois supérieure à celle que le pouvoir attendait d’eux. Une violence sauvage. Aveugle. Sadique. Ou tout à la fois. Une violence qui se torche avec la Convention de Genève, puisque cette violence va bien au-delà de « l’ordre » même.
Dire que cette brutalité inimaginable laisse jusqu’aux donneurs d’ordre sans voix… Ah, les hypocrites !

C’est une « bavure » de ce genre qui s’est produite, un jour de l’été 2007. Et aucun journal télévisé de France ni de Navarre n’en a parlé. Je l’ai appris, moi-même, grâce au « Requiem pour un nomade » du reporter Michael Stuhrenberg, en feuilletant, par hasard, le n° d’octobre 07 du magazine Géo. Les crimes furent perpétrés au Niger *, pays pauvre parmi les plus pauvres. Mais pays dont le sous-sol est riche en uranium !

Kalakoa, paisible nomade touareg, et deux autres Kel Tadele ** abreuvaient chèvres et chameaux au puits de Tezerzait. Les trois vieillards – dont un aveugle et un octogénaire ! – se retrouvent vite encerclés par pas moins de cent soldats nigériens. Considérés aussitôt comme des « poseurs de mines » – ils n’ont pourtant rien de rebelles – tant pis : après deux jours de brimades et de corvée d’eau, ils seront froidement égorgés. Puis découpés en morceaux : folie, sauvagerie ou volonté de « faire un exemple » ? Enfin, les soldats les enterreront sommairement autour de ce même puits.

Kalakoa et ses compagnons d’errance auraient pu être arrêtés.
La soldatesque était en nombre suffisant… Non. Kalakoa est mort.
Sans comprendre.
Sans autre forme de procès.


***

Je dessine ton portrait,
et ton regard hante mes nuits d’Européen sédentaire.
Moi qui vis auprès de com-patriotes toujours prompts
à glorifier NOS militaires, quand ils défilent
aux côtés de Bechar el Assad, ce 14 juillet, par exemple.
Prompts à pleurer NOS morts en Afghanistan.
Ou à vendre, via le VRP Sarkozy, nos centrales nucléaires (si friandes d’uranium) aux dictateurs…

Kalakoa. J’écris pour esquisser un tombeau de papier
dans le désert du Niger ; un tombeau
à ta mémoire, ô touareg inconnu !
Les mots s’ensablent… Qu’importe ?
Je t’élève ce tombeau de poussières, de mots nomades,
en toute fraternité [arrachée à notre devise républicaine].

Afin que mon poème soulève le voile de ton chèche,
découvre ton martyr imbécile, monstrueusement inutile.
Dans l’espoir que les vers reconstituent tout ton être
dans sa plénitude, parmi Dakoye, ta femme, et vos neufs enfants.
Pour que ton portrait d’homme au regard droit, nomade,
éclaire d’un sourire cet univers mondialisé
qui se fout de la paix, de la nature, de la vie…
comme de son premier crash boursier !

Kalakoa, mon frère d’âme, je te parle avec chaleur,
et souhaite ainsi que nul/le n’ignore le froid du métal
réglementaire et militaire qui s’abattit sur toi ;
s’abat encore et toujours sur tes semblables :
Afghans ; Boliviens ; Irakiens ; Kabyles ; Palestiniens ;
Tchétchènes ; Tibétains ; Touaregs…
au nom du terrorisme d’Etat
qui ne fait pas de détails
dans sa boucherie légale
sponsorisée par les industriels ***
avec l’aide des commis voyageurs
de nos irréprochables pays « développés »
pour qui une vie humaine ne vaut pas cher,
pour qui seuls comptent les marges bénéficiaires,
la croissance positive, le profit maxi…

Kalakoa, quel poète, quel naïf a écrit :
« Le crime ne paie pas » ?

* * *

Les soldats qui vous ont assassinés, et le Président Tandja qui les en a chargé, et s’en est félicité, croient-ils vraiment que, en massacrant trois vieillards désarmés, ils vont réussir à intimider les rebelles du MNJ ? Croient-ils ainsi pouvoir décourager toute tentative de résistance ? Les vrais rebelles, arrivés peu après sur les lieux du massacre, ont attaqué les soldats restés sur place pour se repaître des chameaux de Kalakoa. Cet accrochage fit 15 morts et 43 blessés…

Pour que nul n’en ignore,
pour que nos étranges affaires étrangères
chères à Kouchner
ne se drapent pas davantage dans le cynisme
de la « real-politique »,
pour qu’aucun autre crime impuni
ne vienne rougir l’ehan **** d’aucun nomade,
pour que ton sacrifice absurde ne se reproduise,
Kalakoa ;

j’ai essayé, moi, petit blanc de France,
de dire devant ta tombe que la bonne conscience
des néo-colonialistes,
qu’ils soient Américains, Chinois, Russes
ou Européens, n’est pas plus soluble
dans l’eau du lac Leman, sis Genève,
que ne l’est le sable du désert nigérien
dans le sang d’innocents.


* * *


* classé par les Nations unies 177ème sur… 177 !
** membres d’une tribu touareg
*** de type AREVA, Bouygues, BP, Dassault, Monsanto, Total…
**** tente, dans la langue des Kel Tadele


Source: http://evazine.com/

Suite...

25 janv. 2009

A propos des prisonniers de la Résistance Touarègue.

Qu'il s'agisse du Niger ou du Mali, il faut savoir une chose, l'armée ne fait pas de prisonniers, elle les execute!

Nous en avons la preuve depuis le début de la Rebellion, les seuls prisonniers que fait l'armée, ce sont des civils sans defense.

La Haine des militaires envers les Touaregs est si grande, qu'ils sont incapables de se retenir face à des combattants faits prisonniers (même si cela est aussi rare que l'eau dans le desert), ils preferent les abbatre pour assouvir une soif de vengeance.

Cela est la consequence de la mauvaise representativité de certaines ethnies dans nos armées nationales (touaregs, arabes, peuhls), dont les civils peuvent facilement etre executés par des soldats en mal de victoire militaire.

De l'autre côté, nous avons des rebelles qui traite honorablement les prisonniers, au point qu'au moment de se separer, beaucoup des prisonniers fondent en larme (cas des prisonniers du MNJ).

Les Touaregs ne tuent pas des personnes affaiblies à cause de l'Ashaq, les autres populations aussi ont une conduite d'Honneur dans la guerre, mais cela est faussé par la Haine transmise depuis des générations contre les "peaux blanches".

C'est là qu'on peut mesurer le sentiment qui anime les populations du sud. Si les militaires traitent les rebelles comme ces derniers les traite, je pense que les rebelles eux-même changeront beaucoup de choses dans leur lutte.

On sait aussi que lors de l'attaque de la compagnie de Nampala, les hommes de Bahange ont laissé partir plus de 180 militaires, dont la plupart étaient blessés par balles, n'est-ce pas une preuve de fraternité dont pourraient s'inspirer les armées nationales?

Mais aujourd'hui, ce qui est déplorable, c'est de constater que le gouvernement central arrive à monter les Touaregs ou Maures les uns contre les autres, en les manipulant. Là aussi il faut reconnaitre la bassesse de ceux qui se livrent à ce jeu.

Si ATT considerait Elh Gamou ou Oul Meydou comme de vaillants officiers, pourquoi n'ont-ils pas droit à des promotions; au grade de Général?

Ou est-ce parce qu'il sait que les gens faits prisonniers sont ceux-là même qui étaient prêts à déposer leurs armes pour rejoindre Kidal?

Quelqu'en soit les raisons, une chose est certaine, les Touaregs prendront l'ascendant militaire sur le terrain car en plus de la stratégie militaire, vient s'ajouter l'Humanité dans le traitement des civils du sud ou des prisonniers militaires.

Les dirigeants politiques maliens et nigeriens croient que la solution au probleme Touareg est dans l'élimination physique des chefs militaires.
C'est une erreur, car la fibre de la resistance n'est pas dans Bahanga ou Iyad ou Rhissa boula, elle est dans la Culture Touaregue, qui refuse l'Injustice.

A present je vous pose une question.

Pourquoi les Touaregs du Mali sont-ils encore dans le schéma tribal d'avant les independances?
Car malgré tout, ATT arrive toujours à vous opposer les uns contre les autres, ce qui est impossible au Niger.

Il y a aussi les Touaregs d'origine "serfs" (non pas esclaves car les Touaregs n'en ont pas) dont certains menent une bataille sans merci contre leur propre communauté.
Cela aussi est bien dommage, car ce n'est pas en reniant leur Targuité qu'ils augmentent leur estime auprès des autres communautés, ou d'ATT.

Il suffit de parler d'Imouhar, d'Ifoghas ou d'Imrad pour opposer les mouvements ou même les cadres.
La-dessus, je crois que les cadres Touaregs doivent assumer leur responsabilité.

Enfin, pourqoi les Touaregs et les Songhais ne s'unissent pas comme lors de la pénétration coloniale?


Kaocen Maïga

Source: Issikta

Suite...

19 janv. 2009

1 des 8 prisonniers touaregs succombe aux tortures

L’armée malienne en complicité avec certaines milices touarègues,a pu prendre lundi 11 janvier ,sur le champs de bataille, un groupe de 8 combattants touaregs, au nord du pays.

D'après des sources bien confirmées depuis Bamako, ces combattants prisonniers de guerre, ont été sauvagement torturés, au cours de leur transfert et de leur emprisonnement à Bamako par des agents de la SE (Sécurité d'État). Ces tortures inhumaines ont causé la mort d’un de ces prisonniers.

Aucun droit n’est considéré pour ces prisonniers de guerre, qui continuent jusqu’à preuve de contraire, à subir un traitement inhumain et barbare entre les mains des militaires maliens.

Ceci est paradoxal du moment où chaque fois que les militaires maliens tombent entre les mains des combattants touaregs, tous les droits reconnus pour les prisonniers de guerre sont respectés jusqu’à leurs libérations.

Suite...

18 janv. 2009

Accord d’Alger et autorités maliennes – 18 janvier 2009

Dimanche 18 janvier 2009
Accord d’Alger et autorités maliennes – 18 janvier 2009


Les autorités maliennes ne cessent d’affirmer que 18 points de l’Accord d’Alger (signé en juillet 2006) ont été appliqués à ce jour et qu’il n’en resterait que 3 à mettre en œuvre, nous tenons à faire le point suivant :

Points principaux de l’Accord signé à Alger (juillet 2006) NON APPLIQUÉS à janvier 2009 :

1. retour du dispositif militaire et sécuritaire déployé dans la région, à son niveau antérieur au 23 mai 2006,
2. délocalisation des casernes militaires hors des zones urbaines et de pâturages conformément aux dispositions du Pacte National de 1992,
3. création d’un conseil régional de coordination et de suivi (compétences politiques particulières et coordination des actions de développement avec les bailleurs de fonds, etc.),
4. mise en place d’un programme d’insertion et de réinsertion des Touaregs touchés par les événements,
5. dans le domaine de l’emploi, création des petites et moyennes entreprises, octroi de crédits et formation des bénéficiaires dans les domaines de la gestion,
6. instauration d’un système de santé adapté au mode de vie des populations nomades,
7. exécution d’un programme durable pour l’accès à l’eau potable au niveau de toute la région et notamment les localités importantes,
8. le bitumage des axes routiers principaux : de Kidal vers Gao, Menaka et l’Algérie,
9. réalisation de l’aérodrome de Kidal et réhabilitation de l’aéroport de Tessalit,
10. électrification des chefs lieux des cercles et des communes,
11. couverture de communication téléphonique au niveau des chefs lieux de cercles et de communes,
12. mise en place d’une radio régionale et d’un relais de télévision national,
13. mise en place d’un système éducatif adapté à nos valeurs sociales, culturelles et religieuses,
14. création d’unités spéciales de sécurité, composées essentiellement d’éléments issus des régions nomades,
15. mise en place d’une structure spécialisée chargée de l’action sociale au profit de leurs personnels,
16. prise en charge et recyclage des cadres touareg en langue arabe,
17. Création des centres de formation professionnelle avec des mesures d’accompagnement,
etc.

Points de l’Accord d’Alger (juillet 2006) REALISÉS à janvier 2009, dont certains remis en question par la suite.

1. insertion au journal officiel de la République du Mali du présent accord après sa signature (qui est ainsi devenue une Loi),
2. création du Comité de suivi après signature de l’accord (les membres du mouvement l’ont quitté car il manquait de compétences d’exécution, c’était une coquille vide),
3. retour, par les Touaregs, le 9 mars 2007, sous l’égide du facilitateur, de plus de 1650 armes de toutes catégories, de munitions ainsi que d’autres matériels militaires (dès le désarmement, l’armée a cerné la ville de Kidal et a occupé les sites fréquentés par les éleveurs),
4. création d’un fichier de plus de 4000 personnes à insérer dans la vie socio-économique mais les insertions n’ont jamais commencé,
5. mise en place d’un groupement provisoire de la garde nationale en contradiction avec la mise en place d’Unités spéciales de sécurité prévues dans l’Accord (ce groupement de la garde nationale a été dissous en septembre 2007),
6. le forum de Kidal s’est tenu en mars 2007, sans la participation effective de ceux qui en sont à l’origine (par leur action du 23 mai 2006). Il ne leur a été donné aucune chance de présenter des dossiers techniques correspondant aux besoins de la région de Kidal. Ce forum a été élaboré et tenu par les technocrates de Bamako, sans la participation techniques des intéressés et concernés de la région de Kidal et sans la participation technique des bailleurs de fonds. Aucun des projets décidés lors de ce Forum n’ont été mis en œuvre.

Depuis 2007, la situation sur le terrain et le contexte politiques ont considérablement évolué et l’Accord d’Alger n’est plus adapté. Il convient donc aujourd’hui d’engager de nouvelles négociations qui en tiennent compte.

Hama Ag Sid’Ahmed,
Porte parole de l'Alliance Touareg Nord Mali pour le Changement ( ATNMC)

Suite...

7 janv. 2009

Le Mali utilise les touaregs contre leur propre Nation.

Depuis le lancement de lutte pour la cause de la communauté Touaregue ( qui a connu toute fourme d’injustice, de haine d’humiliation, dans le nord du mali) jusqu’á nos jours, toutes les mesures sont prises par le gouvernement malien pour entraver l’avancement de ladite lutte et que cette nation reste et demeure en misére, ignorance, vises un mot, en retard- tous les moyens sont licites pour l’etat du mali afin de realiser son illégal et inhumain objectif- de peuple touareg a subi toutes sortes d’oppression; de la marginalisation á l’enlevement et puis execution barbare des des oficiers militaires et personalités civiles touaregs pensant par des assassinats en desordre des citoyens innocents touareg et maures.
Aujourd’hui la situation est plus pire que jamais- en effet la campagne
Menée par l’Etat du mali a pris des nouvelles dimensions- selon nos informations depuis Bamako, cette campagne entre dans une nouvelle phase celle d’utiliser les touareg contre leur propre peuple – selon des sources très informeés

des personalités politique touareg proches de regime en place, ont ouvert des camps d’entrainement et de formation des milices touaregue pour combattre et mettre fin á la noble lutte que menent leurs frères de sany contre l’injistices et l’oppression de leur ennemi commun- le president malien ATT, qui manigance personnellement cette mise de l’huile sur le feu, s’est chargé de l’armement jusqu’aux dents de ces milices –la strategié utilisée dans cette campagne est “ divise pour mieux regner”.
Le gouvernement malien inculque á ces jeunes miliciens des idées méfastes et retrogrades selon lesquelles les touareg de kidal sont des bandits armés, des trafiquants de drogue, des terrorists qui destabilisent l’aquilibre politique, tandis que ceux de Gao et de Tombouctou sont les plus rapprochés du regime en place, privilegieux et ne sont pas concernés par les problems des autres.
Cet esprit allimocentriste et regionaliste est constaté dans la formation même de Gouvernement et distribution des postes importants de l ‘etat aù tous les beneficiaires sont les sudistes et leurs complices, en concederant le nord comme persone non grata.
Suite á ce serieux problems qui touché l’integrité du peuple touareg tout entier nous attirons l,attention des uns et des outres sur les dengers encourru par les frères touareg une fois que ces hostilities semées entre eux sans aucun raison,persistent- nous reppelons aussi á la communauté touareg que leur premier ennemi commun et ATT et le gouvernement sudiste du mali-elle doit être consciente et reste un et indivisible quelques soient leurs regions.
Toute la jeunesse touareg doit apporter sa contribution dans cette noble lute- quant aux personalités touaregue complices de l’Etat malien ils doivent servoir qu’ils risquent d’être les premières victims de leur sale oeuvre car ils sont touareg et demeurent touareg “quelque soit la durée un bois dans l,eau il ne se transforme jamais en poisson”
L’objective du Gouvernement sudiste malien est clair et vise á s’en debarasser du peuple touareg quelque soit le moyen.

PAR: AZAWADIEN

Suite...

3 janv. 2009

2 janvier 2009 : Communiqué de l’ATNMC (Alliance Touareg Nord Mali pour le Changement)



















Echec d’une grande offensive de l’armée malienne au Nord-Est du Mali

Après les récentes percées des unités mobiles de l’ATNMC fin décembre dans le sud du Mali, les troupes maliennes, conduites par le chef de zone militaire des régions du Nord du Mali, ont tenté ce matin du 2 janvier, à 9h30 une offensive contre l’une des bases du Mouvement Touareg, près de Tigharghar, à Telakak, à l’est de Tessalit. De violents combats ont opposé les troupes maliennes et quelques unités du mouvement.

Après un bilan provisoire de plus de 4 morts et plusieurs blessés parmi les militaires maliens, les troupes maliennes se sont repliées sur les villes de Tessalit et d’Aguelhoc, dans l’attente que d’autres renforts viennent les secourir en plus de ceux déjà arrivés dans l’après-midi.

Dans la même journée, près de Tinzaouaten-Mali, plusieurs morts et blessés parmi les militaires maliens ont été évacués de la zone de Tinzaouaten vers Kidal par des petits avions ultra-légers, à la suite d’incidents majeurs qui ont opposé les éléments de l’armée et des éléments de l’ATNMC dans la zone le 1er janvier.

D’autres offensives sont à craindre de part et d’autre dans les heures et jours qui viennent.

Nous condamnons avec force les tentatives d’assassinat perpétrées le 1er janvier sur des cadres touareg de la région de Gao.

Alliance Touareg Nord Mali pour le Changement
Hama Ag Sid’Ahmed, porte parole, chargé des relations extérieures.

Suite...

 

blogger templates | Make Money Online